De Marie Laberge
Quatre sœurs qui ne se sont pas réunies depuis 15 ans se retrouvent dans la maison maternelle pour discuter du cas de leur mère, qui est à un stade avancé de la maladie d’Alzheimer. Ce soir-là, la tempête du siècle ne hurle pas que dehors. Les rancunes, les regrets, les désirs, les griefs, les attachements, cette passion qu'elles ont toutes éprouvée chacune à sa façon pour cette mère distante et froide, cette nuit les trouvera plus acharnées que jamais à nier.
Article d'Éric Langevin dans Le Nouvelliste
Critique de Linda Corbo dans Le Nouvelliste
Le 3 avril 2011 à 14 h