De Simon Boulerice
« Une maison, c'est l'amour. Pis là, y a pus de maison. Faque y a pus d'amour. »
« Pis nous autres? On est des cotons? »
Murielle reçoit ses deux filles et sa belle-soeur pour un ultime repas clandestin dans la maison familiale qu'elles doivent abandonner. Entre la musique de John Cage, les ustensiles échappés au sol, le fantôme du père de famille et la crème glacée qui fond sur la pantry, elles plongent dans un doux délire collectif en évoquant les moments précieux passés dans cette demeure ancestrale.
Consultez le programme de la pièce
Critique de Geneviève Beaulieu-Veilleux, Le Nouvelliste : Ta maison brûle: nostalgie d’un foyer
Critique d'Alexis Lambert, Zone Campus : Ta maison brûle, de Simon Boulerice : Le TNC n’a rien à envier
Les 18 et 19 janvier 2025 à 14 h